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Le monde en 2013

PubliĂ© le 11 janvier 2013 par Lucette Bottinelli dans ACTUALITÉ Aucun commentaire
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Le monde en 2013

Par Ignacio Ramonet

 I.Ramonet29K

AprĂšs avoir survĂ©cu Ă  la fin du monde du 21 dĂ©cembre 2012 [1], tentons maintenant de dĂ©terminer – avec prudence et en raisonnant, cette fois, de façon cartĂ©sienne – quel pourrait ĂȘtre notre avenir immĂ©diat. Nous nous baserons, pour le dĂ©terminer, sur les principes de la gĂ©opolitique, une discipline qui permet de comprendre le jeu gĂ©nĂ©ral des puissances et d’évaluer les principaux dĂ©fis et enjeux. Afin d’anticiper, comme sur un Ă©chiquier, les mouvements potentiels de chaque adversaire.

Si, en ce dĂ©but d’annĂ©e, nous regardons un planisphĂšre, nous remarquerons immĂ©diatement le clignotement de plusieurs points rouges. Quatre d’entre eux recĂšlent des niveaux Ă©levĂ©s de risque : l’Europe, l’AmĂ©rique latine, le Proche-Orient et l’Asie.

Au sein de l’Union europĂ©enne (UE), les Bourses continuent de flamber [2] mais l’annĂ©e 2013 sera, du point de vue social, la pire depuis le dĂ©but de la crise en 2008. L’austĂ©ritĂ© comme unique credo et les coups de hache sur l’État-providence se poursuivront. Ce sont des exigences de l’Allemagne. Pour la premiĂšre fois dans l’histoire, Berlin domine l’Europe et la dirige d’une main de fer [3]. Les autoritĂ©s allemandes n’accepteront nul changement de cap avant les Ă©lections lĂ©gislatives du 22 septembre prochain qui pourraient voir la réélection de la chanceliĂšre Angela Merkel pour un troisiĂšme mandat.

« Homme malade » de l’UE, l’Espagne verra les tensions politiques augmenter Ă  mesure que la Catalogne prĂ©cisera les termes du rĂ©fĂ©rendum qu’elle compte organiser dans la perspective de son autodĂ©termination. Un processus que les nationalistes au pouvoir au Pays Basque suivront avec la plus grande attention.

Concernant l’économie espagnole, dont l’état est dĂ©jĂ  dĂ©sastreux, son Ă©volution dĂ©pendra de ce qui se passera … en Italie lors des prochaines Ă©lections lĂ©gislatives du 24 fĂ©vrier. Et des rĂ©actions des marchĂ©s Ă  une Ă©ventuelle victoire de la coalition conservatrice prĂ©sidĂ©e par Mario Monti (qui a le soutien du patronat, de Bruxelles, de Berlin et du Vatican) ou du candidat de centre-gauche Pier Luigi Bersani, le mieux placĂ© selon les sondages. Cela dĂ©pendra Ă©galement des conditions (certainement brutales) qu’exigeront l’Union europĂ©enne (UE) et la Banque centrale europĂ©enne (BCE) en Ă©change du plan de sauvetage de l’Espagne que le prĂ©sident du gouvernement Mariano Rajoy pourrait finir par demander. Sans parler de l’intensitĂ© des protestations qui continuent de se propager comme une coulĂ©e d’essence avant de trouver une allumette allumĂ©e…

Des explosions pourraient aussi Ă©clater dans d’autres pays d’Europe du Sud (GrĂšce, Portugal, Italie) exaspĂ©rĂ©s par la dĂ©gradation sociale. L’UE ne sera pas sortie du tunnel en 2013. Et tout pourrait mĂȘme s’aggraver si les marchĂ©s (encouragĂ©s par les nĂ©olibĂ©raux [4]) s’attaquaient Ă  la France du trĂšs modĂ©rĂ© socialiste François Hollande.

En AmĂ©rique latine, l’annĂ©e 2013 est aussi pleine de dĂ©fis. D’abord au Venezuela, un pays qui, depuis 1999, joue un rĂŽle moteur dans les changements progressistes du sous-continent. La rechute inattendue du prĂ©sident Hugo Chavez, réélu le 7 octobre 2012, introduit un Ă©lĂ©ment d’incertitude. On ne peut exclure de nouvelles Ă©lections prĂ©sidentielles dĂšs les prochains mois. DĂ©signĂ© par Chavez, Nicolas Maduro serait alors le candidat de la rĂ©volution bolivarienne. Actuel vice-prĂ©sident (Ă©quivalent Ă  premier ministre), c’est un dirigeant trĂšs solide, dotĂ© de toutes les qualitĂ©s requises, humaines et politiques, pour s’imposer. Mais on imagine que tous les adversaires de cette rĂ©volution, Ă  commencer par les faucons du Pentagone, vont se mobiliser pour tenter de lui barrer la route.

Il y aura aussi des Ă©lections, le 17 fĂ©vrier, en Équateur : MalgrĂ© les attaques [5] dont fait l’objet le prĂ©sident Rafael Correa, autre grand leader de l’AmĂ©rique latine, sa réélection ne fait pas de doute. Élections importantes aussi, le 10 novembre, au Honduras, un pays oĂč, le 28 juin 2009, le prĂ©sident Manuel Zelaya avait Ă©tĂ© renversĂ©. Son successeur, Porfirio Lobo, ne peut se prĂ©senter pour un second mandat consĂ©cutif. En revanche, le Tribunal Ă©lectoral a autorisĂ© l’entrĂ©e en lice du parti de la LibertĂ© et de la Refondation (LIBRE), dirigĂ© par Zelaya, qui prĂ©sentera comme candidate l’épouse de celui-ci, Xiomara Castro.

Scrutin important Ă©galement au Chili, le 17 novembre. L’impopularitĂ© actuelle du prĂ©sident conservateur Sebastian Piñera permet Ă  la socialiste Michelle Bachelet d’y envisager un retour au palais de la Moneda.

L’attention internationale se tournera Ă©galement, en 2013, vers Cuba. Pour deux raisons. D’abord parce que s’y poursuivent, Ă  La Havane, les nĂ©gociations entre le gouvernement colombien et les Forces armĂ©es rĂ©volutionnaires de Colombie (FARC) pour tenter de mettre fin au dernier conflit armĂ© d’AmĂ©rique latine [6]. Et parce que des dĂ©cisions de Washington y sont attendues, qui pourraient avoir un impact important sur le devenir de la rĂ©volution cubaine. En effet, lors de sa victoire aux Ă©lections amĂ©ricaines du 6 novembre 2012, Barack Obama l’a emportĂ© en Floride avec 75% du vote hispanique et – trĂšs important – avec 53% des voix cubaines. Ces rĂ©sultats confĂšrent au prĂ©sident réélu, pour son dernier mandat, une marge de manƓuvre certaine pour tenter de mettre un terme, enfin, Ă  l’embargo Ă©conomique et commercial de l’üle. Le fera-t-il ?

LĂ  oĂč tout change pour que rien ne change c’est, encore une fois, au Proche-Orient, « foyer perturbateur » du monde. Les rĂ©voltes du « printemps arabe » ont renversĂ© plusieurs dictateurs locaux : Ben Ali en Tunisie, Moubarak en Egypte, Kadhafi en Libye, Saleh au YĂ©men. Mais les Ă©lections libres ont permis Ă  des partis islamistes trĂšs conservateurs (FrĂšres musulmans) d’arriver au pouvoir. Et ceux-ci veulent maintenant, comme on le voit en Egypte, le garder Ă  tout prix. Ce qui consterne la population laĂŻque. AprĂšs avoir Ă©tĂ© en premiĂšre ligne lors des rĂ©voltes, celle-ci refuse d’accepter une nouvelle forme d’autoritarisme Ă©gyptien. ProblĂšme identique en Tunisie.

AprĂšs avoir suivi avec intĂ©rĂȘt les explosions de libertĂ© du printemps 2011 dans cette rĂ©gion, les sociĂ©tĂ©s europĂ©ennes se dĂ©sintĂ©ressent de nouveau de ce qui s’y passe. Parce que trop compliquĂ©. Un exemple : l’inextricable guerre civile en Syrie. Sur ce théùtre, il est clair que les puissances occidentales (Etats-Unis, Royaume-Uni, France), alliĂ©es Ă  l’Arabie Saoudite, au Qatar et Ă  la Turquie, ont dĂ©cidĂ© de soutenir (avec de l’argent, des armes et des instructeurs) l’insurrection islamiste sunnite. Celle-ci, sur les diffĂ©rents fronts, continue de gagner du terrain. Combien de temps tiendra le gouvernement de Bachar el-Assad ? Son destin semble scellĂ©. Certes la Russie et la Chine, ses alliĂ©s diplomatiques, n’autoriseront pas, au sein du Conseil de sĂ©curitĂ© des Nations unies, une attaque des forces de l’Organisation du traitĂ© de l’Atlantique nord (OTAN) comme en Libye en 2011. Mais Moscou et PĂ©kin estiment que la situation du rĂ©gime de Damas est irrĂ©versible. Russes et Chinois ont commencĂ© Ă  nĂ©gocier avec Washington une issue au conflit qui prĂ©serve leurs intĂ©rĂȘts.

Face Ă  l ’« axe chiite » (Hezbollah libanais, Syrie, Iran), l’AmĂ©rique a constituĂ© dans cette une rĂ©gion un vaste « axe sunnite » (allant de la Turquie et de l’Arabie saoudite au Maroc, en passant par Le Caire, Tripoli et Tunis). Objectif : renverser Bachar el-Assad, pour couper les lignes d’approvisionnement en armes du Hezbollah libanais et priver TĂ©hĂ©ran de son grand alliĂ© rĂ©gional. Si possible avant le printemps prochain. Parce que le 14 juin aura lieu l’élection prĂ©sidentielle en Iran. A laquelle le prĂ©sident actuel Mahmoud Ahmadinejad ne peut se prĂ©senter, la Constitution n’autorisant pas plus de deux mandats. Au cours des six prochains mois, l’Iran se trouvera donc plongĂ© dans une fĂ©roce campagne Ă©lectorale opposant les partisans d’une ligne dure contre Washington et les dĂ©fenseurs de la voie de la nĂ©gociation.

Face Ă  cette situation, IsraĂ«l se trouvera, en revanche, en ordre de marche pour une Ă©ventuelle attaque visant les installations nuclĂ©aires iraniennes [7]. Au sein de l’Etat juif, en effet, les Ă©lections lĂ©gislatives du 22 janvier verront probablement la victoire de la coalition ultraconservatrice. Ce qui renforcera le Premier ministre Benyamin NĂ©tanyahou dans son intention de bombarder l’Iran dĂšs que possible.

Cette attaque ne saurait ĂȘtre efficace sans la collaboration militaire des Etats-Unis. Washington y participera-t-il ? C’est peu probable. Barack Obama prend ses fonctions le 21 janvier, et il se sent plus assurĂ© depuis sa réélection. L’idĂ©al pour lui et la diplomatie amĂ©ricaine serait de pouvoir rĂ©gler, en une seule grande manƓuvre diplomatique et sans avoir recours aux armes, les trois principaux problĂšmes de la rĂ©gion : la dĂ©nuclĂ©arisation de l’Iran, la sĂ©curitĂ© d’IsraĂ«l et la crĂ©ation d’un Etat palestinien.

Ce n’est pas impossible si Washington, avec le soutien des autres membres du Groupe des Six (Allemagne, Chine, France, Royaume Uni, Russie) chargĂ©s de traiter le dossier iranien, parvenait Ă  faire accepter Ă  TĂ©hĂ©ran (de plus en plus Ă©puisĂ© par les trĂšs dures sanctions Ă©conomiques) un vĂ©ritable accord de dĂ©nuclĂ©arisation. Ce qui dĂ©livrerait dĂ©finitivement IsraĂ«l de la menace atomique iranienne et garantirait sa sĂ©curitĂ©. En Ă©change de quoi, les autoritĂ©s israĂ©liennes s’engageraient Ă  ne plus faire obstacle Ă  la crĂ©ation d’un Etat palestinien viable. Ce serait un magistral coup diplomatique qui resterait dans les annales et que plusieurs chancelleries encouragent vivement [8].

Le prĂ©sident Obama n’ignore pas que la grande majoritĂ© de l’opinion publique amĂ©ricaine ne veut plus de guerres [9]. L’Irak, que les troupes du Pentagone ont quittĂ© le 31 dĂ©cembre 2011, est loin d’ĂȘtre pacifiĂ©. Le front d’Afghanistan reste ouvert au moins jusqu’en 2014. Celui de la Syrie s’intensifie de jour en jour. Un autre encore pourrait s’ouvrir bientĂŽt au nord du Mali… C’en est trop. Le nouveau secrĂ©taire d’État, John Kerry, aura la dĂ©licate mission de faire patienter l’alliĂ© israĂ©lien.

Le Proche-Orient devient moins stratĂ©gique pour les Etats-Unis dans la mesure oĂč sa dĂ©pendance du pĂ©trole de cette rĂ©gion diminue. La rĂ©volution des hydrocarbures non conventionnels (gaz et pĂ©trole de schiste, notamment) vont certainement redonner Ă  l’AmĂ©rique un nouveau dynamisme et une plus grande autonomie Ă©nergĂ©tique. Selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), vers 2020, les Etats-Unis pourraient devenir le plus important producteur mondial de pĂ©trole et de gaz [10]. Un Ă©vĂ©nement dont les consĂ©quences globales pourraient ĂȘtre considĂ©rables sur le plan stratĂ©gique.

C’est pourquoi Obama regarde de plus en plus vers l’Asie, zone prioritaire depuis que Washington a dĂ©cidĂ© la rĂ©orientation stratĂ©gique de sa politique Ă©trangĂšre. En s’appuyant sur leurs partenaires traditionnels – Japon, CorĂ©e du Sud, TaĂŻwan -, les États-Unis cherchent Ă  encercler la Chine d’un chapelet de bases militaires avec l’intention de freiner son expansion. Il est significatif que le premier voyage de Barack Obama aprĂšs sa réélection du 6 novembre, l’ait conduit en Birmanie, Cambodge et ThaĂŻlande, trois pays de l’Association des nations du sud-est asiatique (ASEAN). Une organisation qui rassemble les alliĂ©s amĂ©ricains de cette rĂ©gion, et dont la plupart sont en bisbille avec PĂ©kin Ă  propos de leurs frontiĂšres maritimes.

Les mers de la Chine sont devenues les zones de plus grand potentiel de conflit armĂ© en Asie-Pacifique. Les tensions entre PĂ©kin et Tokyo, au sujet de la souverainetĂ© des Ăźles Senkaku (Diaoyu pour les Chinois), pourraient s’aggraver depuis la victoire Ă©lectorale au Japon, le 16 dĂ©cembre 2012, du Parti libĂ©ral dĂ©mocrate (PLD) dont le chef, et nouveau Premier ministre, Shinzo Abe, est un « faucon » nationaliste connu pour son attitude critique Ă  l’égard de la Chine. Il y a aussi le diffĂ©rend du Vietnam avec PĂ©kin Ă  propos des Ăźles Spratley. LĂ  encore, le ton monte dangereusement surtout aprĂšs que les autoritĂ©s vietnamiennes aient officiellement placĂ© l’archipel, en juin 2012, sous leur pleine souverainetĂ© et accordĂ© des permis de recherche d’hydrocarbures en mer Ă  l’Inde…

Élu secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Parti communiste chinois (PCC) en novembre 2012, Xi Jinping sera dĂ©signĂ© prĂ©sident de la RĂ©publique populaire de Chine en mars prochain. Celui-ci, au cours de sa premiĂšre rĂ©union avec le haut commandement des forces armĂ©es, a lancĂ© un avertissement trĂšs clair Ă  ses voisins en encourageant ses Ă©tats-majors Ă  « s’adapter Ă  l’ùre de l’information  » et Ă  « amĂ©liorer l’aptitude Ă  combattre dans des conflits rĂ©gionaux [11] ». La Chine modernise Ă  grande vitesse sa flotte de guerre. Le 25 septembre 2012, elle a lancĂ© son premier porte-avions, le Liaoning, dans l’intention d’intimider tous ses adversaires. PĂ©kin refuse de plus en plus la prĂ©sence militaire des Etats-Unis en Asie. Entre les deux gĂ©ants, une dangereuse « mĂ©fiance stratĂ©gique [12] » est en train de s’installer qui marquera sans doute la politique internationale du XXIe siĂšcle.

 Ignacio Ramonet – 1er janvier 2013

Notes

[1] Mais on annonce dĂ©jĂ  une nouvelle « fin du monde » pour le 13 fĂ©vrier prochain… Ce jour-lĂ , un astĂ©roĂŻde gĂ©ant, d’une cinquantaine de mĂštres de diamĂštre et pesant 120 000 tonnes, va frĂŽler la surface de la Terre.

[2] En 2012, le Dow Jones américain a bondi de 8% ; le Nasdaq, indice des valeurs technologiques, et le CAC 40 parisien de 15% ; et le Dax allemand de 30%.

[3] Pour la premiĂšre fois depuis son unification au XIXe siĂšcle, l’Allemagne tient la dragĂ©e haute Ă  ses trois rivaux historiques sur le Vieux Continent : France, Royaume Uni et Russie. Lire aussi Perry Anderson, « L’Europe sous hĂ©gĂ©monie allemande », Le Monde diplomatique, Paris, dĂ©cembre 2012.

[4]  Cf. « France and the euro. The time-bomb at the heart of Europe », The Economist, Londres, 17 novembre 2012.

[5] Les Etats-Unis souhaitent sa dĂ©faite. Ce qui permettrait Ă  Washington, par ricochet, de rĂ©gler l’affaire Julian Assange, Le fondateur de WikiLeaks, toujours rĂ©fugiĂ© Ă  l’ambassade d’Equateur Ă  Londres, y est menacĂ© d’extradition vers les Etats-Unis.

[6]  Cf. Ignacio Ramonet, « Paix en Colombie ? », Mémoire des luttes, décembre 2012.

[7]  Cf. Ignacio Ramonet, « L’annĂ©e de tous les risques », MĂ©moire des luttes, fĂ©vrier 2012.

[8] Lire l’analyse de Jean-David Levitte, ancien conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Le Monde, 20 dĂ©cembre 2012.

[9]  The New York Times, 12 novembre 2012.

[10] Cf. le rapport World Energy Outlook 2012, Paris, 12 novembre 2012.

Source : http://www.medelu.org/Le-monde-en-2013

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