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François, la synodalité et les chemins synodaux.

Accueil Faire église autrement Chantiers de réforme François, la synodalité et les chemins synodaux.
Chantiers de réformeFaire église autrement
NSAE17 juillet 20210 Commentaire

Par Régine et Guy Ringwald

Dépassant le problème de la réforme de la curie pour laquelle on dit qu’il a été élu, le pape François a conscience de la nécessité d’une réforme de l’Église catholique, ou au moins de son mode de fonctionnement. Ses idées touchent essentiellement deux points d’importance inégale. D’une part, le cléricalisme que François ne cesse de dénoncer, d’autre part, l’absence de pouvoir, peut-être même d’influence, des conférences épiscopales dont on dit qu’il a souffert comme archevêque de Buenos Aires.

Quant au cléricalisme, l’angle d’attaque qu’il privilégie, c’est de tenter d’imposer à l’institution un mode de fonctionnement synodal, favorisant la collégialité. Mais les effets de ce processus risquent bien de passer à côté du problème dont toutes les analyses convergent pour dire que cela tient à la structure et à la nature de l’édifice.

Pour l’heure, François a lancé un synode sur la synodalité, destiné à traiter directement le problème, par un synode sans réel ancrage concret. En parallèle, des initiatives locales sont en voie d’être mises en œuvre : la première et la principale étant le « chemin synodal » allemand [1] qui a une existence réelle et dont les travaux sont lancés. D’autres suivent ou suivront, avec des caractéristiques locales spécifiques. La première différence est que ces synodes nationaux ont pour objet de s’attaquer directement au problème et de déboucher sur des réformes pratiques. On voit que le tempo n’est pas le même.

Vaste programme

Dès son premier texte solennel, Evangelii Gaudium, le pape François annonçait sa préoccupation pour le fonctionnement de l’Église catholique, insistant sur la synodalité, « propre au christianisme ». Il se place alors explicitement dans la suite du concile Vatican II. Le synode des évêques a été institutionnalisé par Paul VI, le 15 septembre 1965, à l’ouverture de la dernière session du Concile. La pratique a été poursuivie par ses successeurs, mais sans excessif enthousiasme. Or le synode (synode des évêques selon l’appellation complète qu’il est bon de rappeler) reste sous le contrôle étroit du pape qui en décide la convocation, influe sur sa composition et l’approuve, en tire les conclusions, selon son bon vouloir.

François manifeste le souci de revigorer le fonctionnement synodal de l’Église. Le 15 septembre 2015 (jour du cinquantième anniversaire du motu proprio de Paul VI), François a promulgué, à Florence, une réforme du synode par la constitution apostolique Episcopalis communio. Le synode « constitue un des legs les plus précieux » du concile Vatican II. Il s’agit d’améliorer le processus qui doit partir de la base, d’où l’appel aux contributions des fidèles. Il rappelle au passage l’importance des synodes diocésains, comme premier niveau de la synodalité. Il lance aussi un appel à l’écoute mutuelle. « Une Église synodale est une Église de l’écoute… Peuple fidèle, collège épiscopal, évêque de Rome : l’un à l’écoute des autres ». Son idée est donc de renforcer les enquêtes préliminaires, autrement dit la consultation du « peuple de Dieu » : laïcs, diacres, religieux. Et pour lui, c’est une tâche qui s’inscrit dans le signe des temps : « Vraiment, le chemin de la synodalité est le chemin que Dieu attend de l’Église au troisième millénaire ».

À son actif, il a convoqué déjà trois synodes, et lance en ce moment un synode spécifiquement dédié à la synodalité. Il y voit un décloisonnement du fonctionnement de l’Église, ce qui s’inscrit dans un projet d’ensemble qui inclut un renforcement du rôle des conférences épiscopales, actuellement dénuées de pouvoir (dans un diocèse, tout le pouvoir est aux évêques), et la perspective de la création d’un échelon d’organisation au niveau des grandes régions ou des continents. Vaste programme que les dispositions nouvelles annoncées pour le prochain synode semblent amorcer.

Pratique de décision collective qui était la marque des premières communautés chrétiennes, l’usage du synode a été longtemps perdu, la forme de pouvoir évoluant sans cesse vers un système pyramidal. Vouloir développer synodalité et collégialité va donc contre les usages en vigueur et contre la tendance générale… du cléricalisme. Problème. D’ailleurs, dans la pratique, François est bien obligé d’user de ses prérogatives de monarque absolu pour essayer de faire avancer la collégialité !

Quant à l’expérience, force est de constater que les synodes diocésains ont découragé tout le monde parce qu’il n’en sort rien d’autre que ce que l’évêque en pense. Les consultations des fidèles, mises en place pour le synode de la famille ont donné lieu, dans certaines communautés, à beaucoup de travail mené dans l’enthousiasme, mais dont on n’a pas perçu l’influence sur le résultat. On sait que François voulait une ouverture sérieuse pour les divorcés remariés, ouverture qu’il a dû imposer (imposer, reste à voir) par une note de bas de page dans son exhortation apostolique. Quant au synode sur l’Amazonie, il avait été préparé avec force participation des organisations locales, il avait voté en faveur de l’ordination de « viri probati », mais on se souvient comment François a dû y renoncer à la dernière minute [2].

José Arregi juge sévèrement ce bilan : « en huit ans de pontificat, il a convoqué quatre synodes, dont trois ont eu lieu. Et quels progrès ont été réalisés ? Je vais vous le dire en un mot : aucun. Un néant recouvert de beaucoup de rhétorique. Huit années sont trop longues pour ne pas prendre de mesures décisives et irréversibles. » (Le pape François et le mouvement 15-M).

François avait déjà annoncé pour la fin de 2022 un synode sur la synodalité qui devait mettre sur les rails le processus, élaboré et approuvé collectivement par le collège des évêques. Il vient de changer la donne en organisant un processus long qui implique la base et les échelons intermédiaires, bien dans la ligne de ses préoccupations. Mais en parallèle se sont levées quelques initiatives locales. Voyons ce qu’il en est de celles qui commencent à prendre forme.

Lire : Australie : le gouvernement à l’origine du mouvement

Lire : Irlande : après l’effondrement

Lire : Italie : les évêques trainent les pieds

Synode 2023

Après avoir annoncé un synode sur la synodalité pour 2022, le pape a annoncé, le 21 mai, une version de l’organisation du parcours qui devait se dérouler en trois phases, d’octobre 2021 à octobre 2023. Ce parcours allongé a pour but de permettre une large consultation des fidèles, et aussi l’intervention d’un échelon intermédiaire au niveau des continents.

Le chemin synodal (l’expression a du succès) sera inauguré par le pape les 9 et 10 octobre, l’Assemblée générale ordinaire du synode devant se tenir à Rome en octobre 2023. Les consultations s’étendront jusqu’en avril 2022, chaque diocèse élaborera une synthèse, un premier « instrumentum laboris », rédigé par le Secrétariat général du synode, devant être publié en septembre. C’est à partir de ce travail que les assemblées continentales rédigeront le document final d’où résultera l’« instrumentum laboris » du synode.

Le programme annoncé : « Pour une Église synodale : communion, participation et mission » aurait gagné à être un peu plus explicite. La nomination du Secrétariat général du synode a été très remarquée : il est confié au cardinal Mario Grech, ancien évêque de Gozo, à Malte, « créé » cardinal lors du denier consistoire, en novembre 2019. Il est assisté d’une sous-secrétaire, religieuse Xavière, Nathalie Becquart, une petite révolution.

Le cardinal Grech se place tout à fait dans la ligne du pape François sur la synodalité. « C’est un itinéraire qui reflète la volonté du Saint-Père ou, mieux encore, la nature de l’Église, car il ne s’agit pas d’un rêve du pape François, mais de l’enseignement de Vatican II : une Église qui est le peuple de Dieu. » Par « ce nouvel itinéraire synodal, comme le dit Episcopalis communio, le Synode n’est plus un événement, mais un processus ». Il rappelle qu’il s’agit « d’une pratique typique de l’Église du premier millénaire, perpétuée dans l’Église orthodoxe » : donc dans la plus ancienne tradition, et ouvrant une ouverture œcuménique. Mais il ne s’agit pas d’instaurer une démocratie. Il rappelle que « le moment du discernement est confié avant tout aux évêques réunis en assemblée », qui n’est pas un parlement.

Comment ce synode va-t-il s’articuler avec les démarches lancées ou en voie de l’être, notamment en Allemagne et en Australie ? Ils n’ont pas le même objet, et ne sont pas sur le même tempo. Un synode sur la synodalité, cela peut jouer sur les mentalités, il s’agit de modifier un mode de fonctionnement, mais n’en attendons pas des réformes pratiques : mille ans sont comme un jour ! Les chemins sur lesquels se sont lancés les Allemands, et vont se lancer les Australiens touchent la pratique de l’Église dans des domaines concrets, et se comprennent dans une perspective de réformes visant à corriger des dysfonctionnements, et les temps se recouvrent. Il n’en fallait pas plus pour que de mauvais esprits y voient une manœuvre pour noyer le poisson allemand. Georg Bätzing, le président de la conférence épiscopale a cru utile de préciser dès le lendemain que les deux démarches étaient complémentaires. Il était peut-être urgent de donner cette précision.

Des critiques et des doutes

Résumons : le pape a lancé de longue date l’idée que l’Église catholique devait adopter un fonctionnement synodal, censé impliquer ensemble toutes les composantes du peuple de Dieu. Après trois synodes au succès mitigé, il lance un « synode sur la synodalité » [10]. Il en attend, certains cercles dits progressistes [11] aussi, un changement profond qui donnerait toute sa place au « peuple de Dieu », ce qui serait le moyen de venir à bout du cléricalisme si souvent mis en cause dans les discours, et plutôt conforté dans les pratiques. Le synode doit être le lieu de ce type renouvelé de gouvernement.

Mais le synode demeure un des rouages de l’institution. Or, nous l’avons vu, le processus mis en place, apparemment si libéral, est toujours bien conforme au modèle : on consulte le peuple de Dieu, tout est repris par les évêques qui transmettent au secrétariat du synode – synode des évêques- qui traite les sujets qu’il retient. Mais qui garantit que toutes les voix et toutes les questions auront été écoutées ? La consultation préalable au synode de la famille a laissé comme une frustration. La hiérarchie catholique est encore très largement réticente à ouvrir la discussion à l’ensemble du peuple de Dieu, et encline à limiter le champ des sujets traités. Car, c’est le principe qui fonde l’édifice, la hiérarchie détient la vérité dans tous les domaines : la dogmatique, la morale, la vie de l’Église. Des sujets semblent fermés à toute discussion : les affaires dites pudiquement de bioéthique, indissolubilité du mariage, célibat sacerdotal, statut des femmes, etc. Et quoi de plus clérical qu’une assemblée d’évêques ? Et comment faire autrement dans cette structure multiséculaire et sans cesse de plus en plus centralisée ? Y aurait-il une contradiction ?

Sur le fonctionnement pratique des synodes, des critiques sont récurrentes, on en parle assez peu d’ailleurs : limitation du temps de parole et des interventions, peu d’écoute pour les quelques invités, eux-mêmes soigneusement choisis. Enfin, les conclusions sont tirées par le pape lui-même après mures réflexion et consultations. On a vu sur l’Amazonie qu’une mesure importante pouvait être approuvée à la majorité qualifiée, même par une assemblée d’évêques, et finalement non retenue (sous l’effet des pressions).

Alors, sur ce synode sur la synodalité, il convient de ne pas être éblouis par la participation annoncée des laïcs, et peut-être convient-il de… ne pas trop rêver.

Notes :
[1] Golias Hebdo n°602 (Allemagne : Un « chemin synodal » qui fait problème à Rome) et 678 (Chemin synodal allemand : ne rêvons pas trop)
[2] Golias Hebdo n° 593 (AMAZONIE : dans la ligne de « Laudato si »), 609 (Un livre explosif : plus de peur que de mal), 613 (AMAZONIE : les suites incertaines d’un synode)
[3] Plenary Council
[4] Dans les dominions, une Commission Royale (déférence envers la couronne royale britannique) est le nom donné à une commission d’enquête.
[5] dans ses livres Gomora et Sodoma
[6] https://www.garrattpublishing.com.au/blog/post/the-future-of-catholicism-australia/ ; Sœur Joan Chittister invite le catholicisme à « grandir »
[7] ACCCR : Australasian Catholic Coalition for Church Reform (ACCCR)., Coalition Catholique Australienne pour la Réforme de l’Église. Regroupe une vingtaine d’associations de laïcs catholiques.
[8] Golias Hebdo n° 340
[9] Gl. Ganiel, Transforming Post-Catholic Ireland. Religious Practice in Late Modernity, Oxford University Press, 2016, citée dans « L’Église catholique en Irlande » de Gerald O’Hanlon, dans la revue Études 2019/2 (février 2019)
[10] le mot synodalité est un néologisme inventé par François.
[11] « dits » progressistes, non pas pour minimiser leur position, mais pour prendre une distance par rapport à cette expression qui n’est jamais définie clairement dans le contexte catholique.

Source : Golias Hebdo n° 680

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