AMAZONIE : les suites incertaines d’un synode
Par Régine et Guy Ringwald
La question du célibat des prêtres aurait-elle étouffé un peu le synode sur l’Amazonie ? Dans l’exhortation apostolique rendue publique le 12 février [1] « Querida Amazonia [2], Amazonie bien-aimée », le Pape François s’exprime sur deux registres : un où il excelle, pour tout ce qui concerne l’humain, son cadre et les conditions de vie, un autre où on le sent gêné, maladroit, dans la partie qui concerne l’organisation de la vie ecclésiale, et plus particulièrement les ministères.
Tous les commentateurs ont relevé le style, l’esprit, dans lequel s’exprime le Pape François pour parler du drame que vit l’Amazonie dont il loue au passage la beauté, et qui lui inspire plusieurs citations de poètes latino-américains. Le style poétique, presque amoureux, n’empêche pas les fortes paroles. Le « drame écologique » est vu sous ses divers aspects, sans concessions. Les divers sujets sont présentés sous la forme de quatre rêves : social, culturel, écologique, ecclésial. Le rêve ecclésial traite des problèmes de fonctionnement de l’Église, mais prend ses distances avec le document synodal. Ce qui est dit n’a rien d’une rêverie, c’est nourri de la réalité. Quant à la division en plusieurs thèmes, elle n’occulte jamais le fait que tout se tient.
Deux styles deux rythmes
Si le magnifique développement sur les problèmes humains de l’Amazonie est vif, d’un style poétique, parfois enflammé, s’il comporte des analyses claires, sans concessions, et des condamnations de certains comportements dévastateurs, la partie qui traite des ministères ordonnés, et de la vie des communautés, est embarrassé, l’argumentation faible, et même parfois surannée. Une cassure dans le rythme et le niveau de l’expression. Par exemple, comme l’a noté Pascal Janin [3], à la situation pastorale qui « exige une réponse spécifique et courageuse » les réponses qui viennent consistent à prier pour les vocations (on a déjà essayé) et envoyer des missionnaires : il y a longtemps que c’est ce qu’a fait l’Eglise, apparemment ce n’est pas suffisant, et le Pape doit bien le savoir.
Sur le statut des textes
François a quand même un certain chic pour créer la confusion. Il ouvre son exhortation sur une référence appuyée au document synodal, issu des travaux de l’assemblée : « je ne développerai pas toutes les questions abondamment exposées dans le document de conclusion. Je ne prétends pas le remplacer ni le répéter ». Et plus loin : « J’ai préféré ne pas citer ce document dans cette exhortation parce que j’invite à le lire intégralement ». Problème : quel est alors le statut de ce document ? En tout cas, c’est un fait que le Pape ne le cite jamais plus. Par contre, il cite abondamment les documents précédents du Pape François, « Laudato Si », « Evangelii Gaudium » et le document préparatoire « instrumentum laboris», ainsi que des textes de Jean-Paul II et Benoît XVI.
En principe, une exhortation apostolique entre dans le magistère. Tout document approuvé par le Pape entre dans le magistère. Ici, nous sommes devant une exhortation qui se réfère explicitement au document synodal, le présente, invite à le lire et ne prétend pas le remplacer, évite de le répéter comme si c’était superflu. On pourrait croire que par cette formule, le document de l’assemblée est de fait annexé à l’exhortation. On peut remarquer aussi que le Pape évite soigneusement de l’approuver explicitement, il le « présente ». Cependant, l’exhortation n’est qu’un cadre qui semble compléter le texte du synode, et au-delà tout le chemin synodal. Inutile de dire que les interprétations divergent et que chacun pourra retenir celle qui lui convient, tant que des précisions n’auront pas été données. Cependant, lors de la présentation du texte en salle de presse du Vatican, le Cardinal Baldisseri a fait remarquer que le document final ne relevait pas du magistère. Ce n’est pas l’avis du cardinal Barreto, vice-président du REPAM et président délégué du synode. Pour lui « l’exhortation apostolique “Chère Amazonie” ne peut être comprise sans le document final, et je dirais même, comme le Pape l’a également déclaré à un moment donné dans l’exhortation, sans l’Instrumentum Laboris qui est le fruit d’une consultation préalable avec les peuples amazoniens ». Bien dans la ligne de la notion de « chemin synodal ».
Un problème de calendrier
Pour François, « Jean-Paul II est un géant de la sainteté et un grand pape ». C’est ainsi que Luigi Epicoco ouvre son interview sur le site espagnol Vida Nueva, le 12 février, justement. Luigi Epicoco est l’auteur d’un livre d’entretiens avec le Pape François qui est sorti en librairie, la semaine même où a été publiée l’exhortation apostolique. Le livre s’intitule « San Giovanni Paolo Magno » : un livre inattendu qui arrive en même temps qu’une exhortation peut-être trop attendue, elle. Pour l’auteur, « C‘est une coïncidence providentielle puisque la production (du livre) a été achevée à Noël dernier, avant les dernières controverses », donc en même temps que l’exhortation dont on dit officiellement qu’elle a été distribuée aux dicastères le 27 décembre. Coïncidence certainement providentielle, mais qu’on pouvait quand même éviter, si on le souhaitait. Dans cette interview panégyrique, François réitère sa position ferme sur la question du célibat sacerdotal « une des caractéristiques de l’Église latine, mais aussi une grâce, et non pas une limite ».
Un autre élément nouveau est apparu le 15 janvier : une lettre dont le fac simile est dans la presse. Elle est datée du 13 janvier, et signée du Cardinal Hummes, président du REPAM [4], qui était rapporteur général du synode, et passe pour avoir été proche de François au cours du chemin synodal. Il écrit à divers évêques. Il commence par ces mots : « le Saint-Père est en train de préparer une nouvelle exhortation apostolique ». Il leur fournit des textes pour se documenter (les textes du synode et les textes de François), en attendant de recevoir le texte avant sa publication officielle. Cela vient-il contredire la version officielle disant que le texte était définitif le 27 décembre ? Y a-t-il eu un remaniement de dernière minute ? Pour compliquer encore un peu les choses, on a remarqué à Rome l’absence du Cardinal Hummes lors de la présentation de l’exhortation. Déçu, ou réservé, le cardinal Hummes ?
Les « viri probati »
La question des communautés amazoniennes privées d’Eucharistie, par manque de prêtres, avait été largement discutée depuis longtemps, et encore pendant l’Assemblée synodale. Les Pères synodaux ont voté, à plus des deux tiers, la proposition d’ordonner des « viri probati », et plus précisément, parce que cela paraissait plus simple, des diacres permanents.
Ici en Europe, l’exhortation était attendue sur cette question. On avait eu l’impression que le Pape François y était favorable : le cardinal Hummes était partisan de cette mesure, François ne s’était pas opposé à ce que ce point soit discuté [5]. Il avait récemment réaffirmé avec force son attachement au célibat ecclésiastique, mais il avait aussi admis qu’il pouvait y avoir des exceptions. La question n’est pas citée dans l’exhortation, le texte ne mentionne que des palliatifs éculés.
Il est vrai que l’ordination d’hommes mariés était demandée par les évêques de la région, pour augmenter la présence des prêtres dans les communautés, et aussi parce qu’un homme célibataire est considéré comme socialement anormal par les peuples autochtones. La mesure était aussi attendue en Europe, où d’ailleurs le manque de prêtres est également un problème crucial dans bien des régions [6]. S’y ajoute que, socialement, le célibat obligatoire n’est plus compris. La décision était particulièrement attendue en Allemagne. Le chemin synodal, associant clercs et laïcs, a fait de la question l’objet d’un des quatre pôles d’étude. Une exception pour l’Amazonie pouvait être la brèche par laquelle on pourrait s’engouffrer pour obtenir la même exception. Mais cette exception finirait assez vite par ne plus en être une, ce qui n’a pas échappé aux conservateurs de la Curie.
On a vu se développer une opposition. Dès avant le synode, l’attaque fut menée par les cardinaux Brandmuller et Müller, puis un dernier assaut était lancé par le cardinal Sarah, avec la contribution du Pape émérite. Mais il se dit que c’est tout un courant de la Curie qui a exercé des pressions, et on cite ces jours-ci, parmi les opposants actifs et influents, le très conservateur Cardinal Ruini, ancien président de la Conférence des Évêques d’Italie. François a-t-il évalué que le risque d’une crise ouverte était trop grand ? Il y a des signes qui ne trompent pas. Le jour de la présentation de l’exhortation apostolique, le Cardinal Müller a félicité François et l’a fait savoir : « c’est un texte de réconciliation ». La veille, le Cardinal Marx, qui tient les rênes du synode allemand, annonçait qu’il ne souhaitait pas le renouvellement de son mandat de président de la Conférence épiscopale. On voit de quel côté penche la balance.
Le pape a-t-il laissé la question ouverte ? C’est la version qu’on laisse dire et à laquelle se raccrochent les déçus. En effet, conformément à la manière du Pape François, il ne tranche pas, ne prend pas de décret, il laisse faire le « chemin synodal ». Autrement dit : il attend que des initiatives viennent des évêques locaux. Le Cardinal Czerny, qui était secrétaire spécial du synode, considère que la question, de même que celle du diaconat féminin, n’est pas close.
La tactique du pied dans la porte était-elle de nature à apporter la solution ? La question posée était – elle la bonne ? Récemment, Gino Hoel faisait remarquer dans les colonnes de Golias Hebdo [7] que si le Pape voulait traiter le problème des prêtres, un synode sur l’Amazonie n’était peut-être pas le chemin le plus court. La question des prêtres dans l’Église catholique touche à la structure même. Sortir du cléricalisme est une question très complexe. Le cardinal Barreto rappelle : « Jésus n’a pas laissé l’Église structurée, il a laissé les gens avec des limites, mais avec la conviction de la recherche constante de la volonté de Dieu comme réponse à ce processus d’écoute des gens, de ce discernement que nous devons faire ensemble ».
Le statut des femmes
Il n’est plus question de diaconat féminin. Il avait d’ailleurs été pratiquement évacué par l’assemblée, le Pape y revenant dans son discours final en envisageant timidement un réveil de la commission ad hoc qui avait travaillé sur le sujet, d’un point de vue historique, sans trouver rien de probant, nous disait-on.
Dans l’exhortation, François leur rend l’hommage désormais habituel, reconnaissant que c’est elles qui maintiennent en vie les communautés, où elles font tout : elles baptisent, catéchisent, sont missionnaires, assurent les actions sociales. Quant à leur donner un ministère ordonné, on retombe dans le refus ancestral, au motif que ce serait les « cléricaliser », ce qui n’est peut-être pas ce qu’elles attendent, d’ailleurs. François revient avec les dons spécifiques des femmes, force et tendresse. Il développe une théologie un peu étrange. Dieu a voulu se manifester sous deux visages, celui du Christ et celui de Marie. Le prêtre, homme, serait configuré au Christ, tandis que la femme le serait à Marie. Avec un raisonnement de cette nature, on n’est pas près de faire avancer la question.
L’organisation internationale féministe Voice of Faith s’en étrangle, dans un long développement qu’elles ont publié, signé par de nombreuses organisations de différents pays (pas de Française). Citons : « L’expression choquante de cette mentalité est décrite au point 101 de l’exhortation. Le Pape écrit que Dieu a montré la puissance et l’amour de Dieu à travers deux visages humains : Le Christ et Marie… si les femmes sont seulement comparées à la ressemblance de Marie, alors pourquoi les femmes sont-elles baptisées au nom du Christ ? Pourquoi, au moment du baptême, sont-elles appelées à être sacerdotales, prophétiques et royales, ce qui constitue une participation au ministère sacerdotal, prophétique et royal du Christ lui-même ? Reste la question pratique de savoir quel est ce “pouvoir caractéristique” des femmes dans l’Église. Le document semble suggérer qu’il consiste à imiter la maternité de Marie ».
Quelle réception pour ce texte ?
Si en Europe, nous avons eu l’attention rivée au problème des viri probati, en Amazonie, l’accent est mis sur la reconnaissance du problème propre à cette région. Citons deux témoins. Mgr Kräutler a aimé ce qui concerne le pays et la vie des peuples, moins l’aspect ecclésial, Mauricio Lopez, du REPAM, exprime son impatience devant les réactions européennes.
Mgr Erwin Kräutler [8] est autrichien. Évêque émérite de la région du fleuve du Xingu [9], une région grande comme les deux tiers de la France, il est aussi vice-président du REPAM. Il est interviewé par le site suisse « cath.ch », sous le titre : « Le rêve ecclésial de Querida Amazonia manque d’audace » dont voici quelques extraits :
« Je suis extrêmement satisfait de… trois rêves et demi ! Je trouve en effet excellent le contenu de l’exhortation concernant les rêves social, culturel et écologique ». Il salue les expressions très fortes : par exemple les termes « d’injustice et de crime ». Mais « le quatrième rêve s’est achevé au milieu ! Tout à coup, j’ai senti une cassure. J’ai le sentiment d’être passé du rêve à une vision très pragmatique ».
Les propos contre les intérêts colonisateurs « sont d’une très grande valeur et constituent un véritable défi pour la gestion du gouvernement brésilien dans la région… Le pape exprime avec raison son désaccord sur le projet de continuer le processus de destruction de l’Amazonie ».
À propos des « viri probati », « ’il y a beaucoup de personnes comme moi qui sont restées perplexes, sans comprendre pourquoi cette mesure n’a pas été reprise dans l’exhortation. Mais, on peut aussi considérer aussi la chose de manière plus positive et observer que le pape n’a pas fermé le débat.
Il réfute les propositions du pape : « nous tentons d’orienter les vocations pour l’Amazonie depuis les années 1970 » ; les équipes missionnaires itinérantes : « il y a déjà eu de très nombreuses tentatives pour créer de telles équipes. Sans grand succès, à vrai dire. Mais au fond, le problème est ailleurs… c’est la présence du prêtre… Quand il arrive quelque chose d’important ou de grave dans les communautés, nous ne sommes jamais là. C’est la grande différence avec les pasteurs évangéliques ». Et une position nette : « On ne peut pas mettre la question du célibat au-dessus de celle de la célébration de l’Eucharistie ».
Il est aussi amer sur la question du rôle des femmes : « face à l’avancée des Églises évangéliques… nous avons perdu une chance, avec l’absence d’une vraie valorisation du rôle de la femme dans l’exhortation. Cela nous inquiète, car les femmes sont responsables du bon fonctionnement de l’Église dans au moins 70 % des communautés de l’Amazonie.
Mauricio Lopez Oropeza est secrétaire exécutif du REPAM [10], il a participé au synode. Dans le texte dont nous proposons ici le passage essentiel, il donne son avis sur l’accueil que l’Exhortation a reçu dans les médias. Il nous invite à voir autre chose que les retombées pour l’Église Universelle, et à nous concentrer sur l’impact que ce document peut avoir sur la vie de foi de ceux qui vivent en Amazonie.
« Nous sommes le 12 février, ce n’est pas un jour comme les autres, le pape François doit présenter son exhortation apostolique…. je commence à lire des réflexions qui viennent du monde entier, concernant l’exhortation que nous attendons et je ressens, encore et encore, le manque de compréhension de la part de personnes qui ne sont vraiment pas concernées par l’Amazonie et ses habitants. Ces réflexions portent principalement sur une préoccupation obsessionnelle des implications pour l’Église Universelle, plutôt que sur son impact réel sur la vie des communautés, ici, en Amazonie, qui souffrent et souhaitent approfondir leur vie de foi d’une manière plus ancrée dans leurs identités culturelles et ancestrales… Les mots qui me viennent à l’esprit en lisant ces articles sont les mêmes que ceux qui nous sont venus pendant notre séjour à Rome : déconnexion, affirmation de soi, eurocentrisme, incompréhension, incompatibilité. De plus, les articles montrent un manque de respect pour le thème central de ce synode : la vie et l’avenir des peuples de l’Amazonie. (Il prend ensuite le reportage sur Internet) Au fur et à mesure qu’avance (la retransmission), j’ai l’impression que l’ensemble du processus synodal a été détourné par certains médias, et les intérêts qui se cachent derrière eux, en se concentrant sur une seule chose : l’approbation ou la désapprobation des prêtres mariés. Je me demande comment cela peut être possible alors qu’il ne s’agit que d’une proposition parmi les deux cents présentées dans le document final. C’est un sujet important, certes, mais en aucun cas le plus important pour les peuples de l’Amazonie.
Je ne peux pas ne pas me rappeler la polarisation de très petites fractions de l’assemblée synodale, deux extrêmes qui manquaient d’une véritable capacité d’écoute. Je vois, d’un côté les conservateurs qui n’acceptent aucun changement et se placent comme protecteurs de la soi-disant orthodoxie de l’Église, alors qu’en réalité, il semble qu’ils aient l’intention de protéger le statu quo en ce qui concerne la façon dont l’Église est gouvernée, vision occidentale et eurocentrique. Et d’autre part, je vois certaines personnes qui défendent une position plus idéologique que pastorale, arguant que les changements doivent se produire selon leurs souhaits. Il semble que les deux parties (extrêmes) utilisent l’Amazonie comme un simple prétexte pour faire avancer leurs intentions particulières ».
Où en est François ?
Nous avons un Pape jésuite. Il a la technique pour brouiller les pistes. On pense qu’il a fermé des portes et on nous dit qu’elles sont restées ouvertes, le document final du synode n’a pas de statut précis, mais il est très important. La démarche synodale est plus que jamais mise à l’honneur, mais les initiatives viendront de la base, ou elles ne viendront pas.
Ce Pape excelle à de magnifiques développements sur la vie, l’écologie, l’économie et ses ravages, et aussi sur l’attention aux faibles : ici, les peuples autochtones. Saluons la vigueur du propos et la solidité des arguments ? Sur les points qui touchent à la réforme de l’Église, on sent qu’il bute. Il est retenu par les freins, ou même les blocages, ressentis à la Curie (jusqu’à quand et pour aller où ?), peut-être n’a-t-il pas en main, les manettes qu’il lui faudrait. Il semble clair que sur la question des ministères, du cléricalisme, qu’il pourfend sans qu’on en voie les effets, il peine à donner l’impulsion. C’est qu’il y a loin du diagnostic aux mesures pratiques. N’oublions pas non plus que même si Jean-Paul II a été un grand Pape, comme le dit François, celui-ci assume quarante ans de conservatisme, et… les nominations qui allaient avec.
Notes :
[1] La date avait été choisie : c’est le quinzième anniversaire de l’assassinat de Sr Drothy Stang (1932-2005), tuée pour avoir défendu l’Amazonie et ses peuples.
[2] Le mot « Querida » a plusieurs traductions possibles, de connotations voisines. Celle qui correspond le mieux au contexte est « bienaimée »
[3] Golias Hebdo n° 612
[4] Réseau panamazonien, qui a participé activement aux travaux préparatoire
[5] Lors du synode sur les jeunes, il s’était opposé à ce que soit abordé la question des couples homosexuels
[6] L’assemblée des prêtres australiens vient de demander le célibat optionnel.
[7] Golias Hebdo n° 582
[8] il a été évêque du Xingu de 1081 à 2015. Plusieurs fois menacé de mort.
[9] une région grande comme les deux tiers de la France
[10] Boletin Amerindia n°131 du 21 février 2020
Source : Golias Hebdo n° 613