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Spong : Repenser Dieu dans la modernité : non pas un être, mais l’Être

Accueil Faire église autrement Spong : Repenser Dieu dans la modernité : non pas un être, mais l’Être
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Lucienne Gouguenheim25 août 20190 Commentaire

Par Jacques Musset

Nous poursuivons l’analyse du livre Pour un christianisme d’avenir de John S. Spong [1]

Dans la doctrine traditionnelle des Églises, Dieu est compris comme « un être », infini et immortel, tout-puissant et omniprésent, habitant quelque part en dehors du monde et doté d’un pouvoir surnaturel miraculeux pour intervenir dans l’histoire et le monde. Cette conception que l’on retrouve dans la plupart des discours et la liturgie des Églises et que Spong appelle théiste n’est plus croyable. S’exprimant avec les représentations et dans le langage d’une culture périmée, elle est déconnectée de la culture actuelle.


« Pour le comprendre, il suffit de se remémorer la vague des remises en cause opérées depuis quatre siècles par les découvertes scientifiques successives. Quelles explosions de connaissances ont provoqué la mort de Dieu compris dans un sens théiste ! »


Le défi des découvertes scientifiques


« Au seizième siècle, Nicolas Copernic étudie le mouvement des corps célestes. Il conclut que la terre n’est pas un univers à trois niveaux ! Cette découverte a des implications religieuses majeures. La Bible a été écrite avec la notion d’un univers à trois niveaux : le ciel au-dessus de la terre, et l’enfer au-dessous… Johan Kepler, prend en compte et même améliore [la découverte de Copernic] en expliquant que l’orbite de la terre autour du soleil n’est pas circulaire, mais elliptique… Par la suite, Galileo Galilée, astronome, démontre qu’il est impossible que le soleil tourne autour de la terre. Galilée est jugé pour hérésie. » Il se soumet pour échapper à la prison voire à la mort.

« À mesure que se développent les connaissances sur la forme et la dimension de l’univers, Dieu est délogé du royaume que nous appelons les cieux, et dans ce processus, pour la première fois dans l’histoire humaine, Dieu s’est trouvé sans résidence. La maladie est sécularisée… Dieu ne joue aucun rôle dans la météo. Le Dieu au sens théiste a été mis à la retraite complète. »

Au XVIIe siècle, le mathématicien et physicien anglais Isaac Newton met à jour les lois fixes de l’immense univers qui fonctionne d’une manière mathématique précise.

En 1831, pour Charles Robert Darwin, naturaliste, la création est un processus d’évolution continu et jamais achevé. Il se trouve immédiatement en opposition radicale avec les explications religieuses traditionnelles qui professent que l’homme est sorti des mains de Dieu dans un état bon et achevé, mais que son péché originel a fait déchoir ; il a fallu que Dieu envoie son Fils pour réparer la faute initiale en mourant pour les péchés des hommes.

Enfin, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, Freud, le célèbre inventeur de la psychanalyse, « affirme que la force qui sous-tend la création de tous les systèmes religieux est le besoin chez les êtres humains de contenir les feux de l’angoisse provoquée par ce qu’il appelle “le choc de l’existence”. Il en découle : “Dieu compris de manière théiste a été mortellement blessé. La reconstruction est toujours plus difficile que la déconstruction, mais elle est beaucoup plus importante, et c’est maintenant la tâche qui nous attend.” »

Dieu est au cœur de l’expérience humaine

« Affirmons d’abord, dit Spong, ce que nous croyons que Dieu n’est pas. Dieu n’est pas “un être”, pas même “l’être suprême”. Il est l’Être même. Mais comment décrire “l’Être même” puisqu’il n’existe pas dans le temps et l’espace ? Nous savons pourtant, poursuit-il, que les êtres humains sont capables d’expérimenter ce que les mots ne peuvent pas décrire et que cette expérience elle-même peut être valide et réelle. Ainsi pensaient les croyants juifs de la Bible. Chez eux, le nom de Dieu ne pouvait jamais être prononcé parce que l’esprit humain ne pouvait pas saisir “l’être” de Dieu. C’est pourquoi le nom juif pour Dieu est devenu une suite de consonnes imprononçables : YHWH. Les savants juifs ont acquis la conviction que ces consonnes expriment la source de Dieu comme “l’Être même”, et non un être. De nos jours, le théologien Paul Tillich a traduit le nom de Dieu par “le Fondement de l’Être” [2]. Les Juifs suggéraient donc que Dieu peut être expérimenté, mais jamais défini. Il est instructif dès lors de voir comment croyants juifs et premiers chrétiens expriment leur expérience de Dieu. Elles sont intimement liées à ce qui est source de vie pour les hommes. » Spong cite trois passages significatifs, l’un dans l’Ancien Testament et les deux autres dans le Nouveau.

« Dans le trente-cinquième chapitre d’Isaïe, le prophète explore la question : quand le royaume de Dieu va-t-il apparaître dans l’histoire humaine ? Dans sa réponse, Isaïe parle plutôt d’un monde transformé, un monde vivant et uni en Dieu. ‘’L’eau coulera dans le désert’’ répond-il. Voilà une image frappante de transformation ». Puis il continue en disant que le royaume de Dieu deviendra visible avec l’émergence d’une plénitude humaine. Isaïe dit : « Les yeux des aveugles s’ouvriront, les oreilles des sourds se déboucheront, les membres des humains ne seront plus boiteux, estropiés, diminués ou limités et les voix des muets se feront de nouveau entendre (Isaïe 35, 5-6). La présence de Dieu, selon Isaïe, se verra non pas dans un être, mais dans la vision des êtres humains qui arrivent à un épanouissement… Le divin apparaît seulement dans et à travers l’humain. »

C’est la même conviction qui est affirmée dans la parabole dite du jugement dernier (Mt 25,31-46). « Le jugement sur la valeur de chaque vie humaine s’appuie sur un critère identique, c’est l’attention réelle qu’on aura eue ou pas à l’égard de ses frères humains et notamment vis-à-vis ceux qui étaient dans le besoin. Dieu n’est pas ici un être séparé de l’humain. Le message du texte est le suivant : si vous ne pouvez voir et ne voyez pas Dieu dans le visage des affamés, des assoiffés, des sans-logis, des malades et des emprisonnés, alors vous ne pouvez voir Dieu du tout. Dieu n’est pas un être extérieur ; Dieu est présent dans les visages du moindre de ceux-là, nos frères et nos sœurs. »

La même idée, on la retrouve dans la première épître de Jean (4,16). A la question : « Qui est Dieu », l’auteur répond : « Dieu est amour. Qui demeure dans l’amour, demeure en Dieu. » Là encore, le divin et l’humain apparaissent comme se pénétrant l’un l’autre. Impossible d’atteindre Dieu en dehors de l’humain…

Le thème commun à ces trois textes est que Dieu n’est pas un être à part des êtres que sont les humains. Leurs auteurs nous appellent à aller au-delà d’une compréhension théiste de Dieu et nous ouvrent une voie pour aborder le Saint. Elles nous soufflent que nous sommes une part de Dieu. L’approche de Dieu se fait à travers ce qui rend l’homme vivant. »

La quête de Dieu : une nouvelle forme, un nouveau langage

Mais comment dire cette expérience de Dieu dans le langage humain ? Pour le faire, « il est nécessaire de se rappeler la différence entre expérience et explication. Cette distinction est primordiale, pour situer la nature de l’expérience par rapport à l’explication qu’on en donne, toujours située, toujours relative ».

Spong témoigne ici de sa propre démarche par laquelle il fait l’expérience de Dieu. Il en décrit la voie. Il part d’abord de sa conscience d’être vivant et de la capacité qu’il a d’expérimenter quelque chose au-delà de lui-même, à laquelle il se sent relié. Expérience d’une forme de transcendance qui lui permet de partager quelque chose qui n’est pas lié à son humanité et d’affirmer qu’il est relié à plus large que lui qui s’appelle la vie, une vie qui coule en lui et dont il fait partie. « Notre humanité a eu l’habitude de nommer cette dimension transcendante de la vie “Dieu”. Si Dieu est la source de la vie, glorifier ce Dieu m’oblige au devoir de vivre, vivre à plein. Alors ce que nous appelons Dieu devient visible dans les autres, dans la plénitude de notre capacité à vivre.

La dimension transcendante de la vie que nous appelons Dieu n’est pas distincte de moi. Dieu se révèle en moi et à travers moi. Le mot “Dieu” devient non pas le nom de Dieu, mais plutôt mon nom pour la dimension transcendante de ma propre vie… Dieu se rencontre dans la vie que nous vivons ; nombre de fois nous tenons Dieu pour un être comme nous, mais nous sommes toujours ramenés à notre expérience : en fait, Dieu demeure le pouvoir de la vie en nous. Dieu est la force de vie rendue visible quand nous vivons pleinement. Voilà où commence ma quête, mais ce ne peut pas être le point final. Aussi continuons à examiner plus à fond notre expérience de la transcendance. 

L’amour est une autre réalité que nous, les humains, pouvons à la fois expérimenter et nommer. L’amour est le sens de la vie que nous donnons à un autre… Aucun d’entre nous ne peut créer l’amour. Aucun d’entre nous ne peut donner de l’amour avant d’en avoir reçu. Ainsi l’amour est également une réalité qui nous relie à quelque chose au-delà de nous-mêmes. C’est là le sens de la transcendance… Dieu est le nom que nous donnons à cette expérience de l’amour. Si Dieu est amour, la seule façon dont nous pouvons glorifier Dieu est en aimant les autres. Plus nous donnons de l’amour, plus nous faisons l’expérience d’un Dieu visible. Dieu est expérimenté dans la présence de l’amour. Nous sommes liés les uns aux autres et nous faisons partie de quelque chose de plus grand que nous. Nous appelons cette réalité Dieu…

Ces idées nous amènent immédiatement à envisager que Dieu n’est pas un être, mais « l’Être même ». Dieu est le Fondement de l’Être dans lequel notre être est enraciné. Alors si Dieu est l’Être, la seule manière dont nous pouvons le glorifier correctement est d’avoir le courage d’être tout ce que chacun de nous peut être.

Quand nous disons que Dieu est personnel et non impersonnel, nous signifions que l’expérience de Dieu nous conduit à une humanité plus profonde (Actes 17,28)… nous disons que Dieu est la vie que nous vivons, l’amour que nous partageons, l’Être dans lequel nous sommes unis. Si ce premier point n’est pas acquis, tout par ailleurs s’effondrera dans une formule théiste qui condamne Dieu à mourir. Dieu est. Cela signifie-t-il que Dieu existe ? J’ignore ce que veut dire cette question. Je fais l’expérience de Dieu ; je ne peux pas expliquer Dieu. J’ai confiance en mon expérience. »

Notre conception de Dieu : évolutive, jamais figée

« Ma première tâche cruciale a été de ré-imaginer Dieu ; c’est le fondement de toute pensée religieuse. Atteindre cet objectif de ré-imagination c’est étirer le langage humain à tel point que le langage lui-même devient symbolique ; il montre la direction de la vérité sans avoir désormais la prétention de l’englober. La certitude dans le domaine religieux est toujours une illusion. Une réelle insécurité doit être reconnue comme vertu ; il nous faut apprendre à l’adopter comme élément central de notre religion.

J’ai commencé cette discussion en distinguant l’expérience et l’explication. Je suis convaincu qu’un être humain a la capacité d’expérimenter Dieu, mais aucun être humain n’a le cadre de référence lui permettant de décrire à un autre ce qu’est être Dieu, ce qui signifie que Dieu est hors du champ des compétences humaines. En conséquence, tous nos credo, nos doctrines et nos dogmes sont des définitions avec des limites humaines, qui ne sont, en dernière analyse, que des créations humaines ; aucune ne provient de ce que nous appelons “révélation divine”.

Au cours de chacune de ces phases historiques, nous chrétiens, avons eu des prétentions excessives concernant chacune de ces formes : des fantasmes d’infaillibilité pour notre leader et d’inerrance pour notre histoire sacrée, des déclarations dogmatiques qui ont essayé de transformer ce qui était au mieux des vérités partielles en vérités définitives, prétendument constitutives de “la vraie et unique foi”, de “la véritable et unique église”… Si l’on a fixé dans le vocabulaire les conclusions d’hier pour constituer une “orthodoxie” figée, qui résiste au changement d’où qu’il vienne, le système religieux d’aujourd’hui est malade à en mourir.

Permettez-moi d’illustrer ceci avec un symbole chrétien central, l’idée de Dieu comme Trinité. Est-ce une vérité sur Dieu ou est-ce une description de l’expérience humaine ? La doctrine de la Trinité décrit une étape dans l’évolution de l’expérience humaine. »

En conclusion, Spong pense être d’abord utile « à ceux qui savent que les hypothèses religieuses de leur enfance ne peuvent plus constituer pour eux des réponses ». Par ailleurs ne considérant pas le christianisme comme un système religieux avec des éléments figés de vérité révélée, il le voit plutôt comme une maison évolutive qu’il est heureux d’habiter. Les forces qui ont créé et continuent à créer cette foi en évolution sont des progrès de la conscience humaine, des connaissances qui ne cessent de s’étendre et permettent de nouvelles perceptions.

Notes :

[1] Voir :

Le christianisme actuel doit se réformer en profondeur ou mourir
Repenser Jésus le Christ – Se débarrasser de l’idéologie de l’incarnation

[2] Le Courage d’être, Paul Tillich, Labor et Fides, 1952, 2014.

Source : Golias Hebdo n° 572

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  1. Domy LEJAUNE
    26 août 2019

    Au commencement était DIEU et DIEU était VIE, Âme et Esprit.

    De toute éternité, LA VIE engendre L’Âme de DIEU en son sein. C’est en ce sens que L’Âme de DIEU est Fille de LA VIE.

    De toute éternité, L’Esprit de DIEU est répandu dans L’Âme de DIEU par LA VIE.
    De toute éternité, L’Âme de DIEU est remplie de L’Esprit de DIEU.

    LA VIE est Energie « Corporelle », Energie Psychique Suprême. LA VIE est, et, est consciente d’être Amour Absolu et Intelligence Primordiale.
    L’Âme de DIEU est, et, est consciente d’être L’Energie Psychique engendrée par LA VIE.
    L’Esprit de DIEU est LE SAINT-ESPRIT. L’Esprit de DIEU est, et, est conscient d’être L’Energie Sainte répandue dans L’Âme de DIEU aimant pleinement LA VIE.

    Ainsi DIEU est Mère par LA VIE, Fille par L’Âme et Saint-Esprit par L’Esprit.
    La Mère, La Fille et Le Saint-Esprit sont 3 Personnes en Un Seul Être, DIEU.
    Les 3 Personnes sont conscientes de ce qu’elles sont et de ce qu’elles représentent, chacune, pour les 2 autres.

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