LISTE DES ARTICLES PUBLIÉS DU 6 au 12 AVRIL 2020
LISTE DES ARTICLES PUBLIÉS DU 30 MARS au 5 AVRIL 2020, publié le 6 avril 2020 (Archives).
Dès maintenant !, publié le 6 avril 2020 (Opinions et débats – Éditorial). Par Serge Halimi.
Une fois cette tragédie surmontée, tout recommencera-t-il comme avant ? Depuis trente ans, chaque crise a nourri l’espérance déraisonnable d’un retour à la raison, d’une prise de conscience, d’un coup d’arrêt. On a cru au confinement puis à l’inversion d’une dynamique sociopolitique dont chacun aurait enfin mesuré les impasses et les menaces (1). La débandade boursière de 1987 allait contenir la flambée des privatisations ; les crises financières de 1997 et de 2007-2008, faire tituber la mondialisation heureuse. Ce ne fut pas le cas.
Des messes, des messes devant personne, mais des messes !!, publié le 7 avril 2020 (Opinions et débats – Éditorial). Par Philippe Clanché.
Father Ted était une série humoristique britannique, hilarante et joyeusement anticléricale. Dans une île perdue en Irlande, Ted, curé opportuniste, Dougal, jeune vicaire débile et un vieux prêtre aussi odieux qu’alcoolique et libidineux vivent des aventures délirantes, avec une gouvernante hystérique.
C’est chez toi que je veux célébrer la Pâque, publié le 8 avril 2020 (Faire Église autrement -Textes libérateurs). Par Christiane Bermon.
Un Dieu « anti-pandémique », un Dieu « post-pandémique » ou un Dieu « dans la pandémie » ?, publié le 9 avril 2020. (Faire Église autrement – Ouvertures). Par Michael P. Moore, ofm.
« À propos de ce dont on ne peut pas parler, il est mieux de garder le silence », a déclaré le philosophe autrichien L. Wittgenstein. Il faisait référence à des « thèmes » comme ceux que je veux réfléchir brièvement : Dieu, le monde, la liberté, etc. « Ce dont vous ne pouvez pas parler… » Je pense qu’il vaut mieux essayer d’en dire quelque chose, avec respect, mais avec clarté et fermeté (du moins, avec la clarté et la fermeté que les choses de la foi nous permettent). Parce que ce qui est en jeu dans ces situations est – ni plus ni moins – que notre image de Dieu : qui est le dieu sur lequel ma foi est basée et comment se rapporte-t-elle à nos histoires ?
Prendre soin au féminin, publié le 9 avril 2020. (Faire Église autrement – Ouvertures). Par Régine et Guy Ringwald.
Au Prieuré Sainte-Marie, à Malèves, dans la campagne du Brabant wallon, Gabriel Ringlet anime un lieu de rencontre. Ses célébrations pascales réservent toujours une part d’imprévu. Les trois jours du triduum sont vécus en progression d’un après-midi de témoignage et de réflexion jusqu’à la célébration du soir. Le repas en commun fait partie du programme.
Kairos Palestine : Appel de Pâques 2020, Publié le 10 avril 2020 (Faire société autrement – Témoignages).
Jérusalem est la base de notre vision et de toute notre vie. Elle est la ville à laquelle Dieu a donné une importance particulière dans l’histoire de l’humanité. Elle est la ville vers laquelle tous les peuples s’acheminent et se rencontrent dans l’amitié et l’amour, en présence du Dieu un et unique, selon la vision du prophète Esaïe.
Vœux de Pâques, publié le 11 avril 2020 (Faire Église autrement – Témoignages). Par Jean-Marie Culot.
C’est toujours un plaisir, cher lecteur, de vous présenter mes vœux, comme je le fis, Ange du tombeau, aux deux premières chrétiennes [1], Marie de Magdala et l’autre Marie. Les courageuses au chevet de l’agonisant, les tôt levées, les deux aimantes, les deux admirables. La mise en scène, j’en conviens, le tonnerre de Dieu, c’était too much, mais je venais du fond de l’infini et il convenait que je donne une « sacrée » frayeur aux soldats. Mais la robe, blanche comme neige [2] ? Classe ! Et la lourde pierre, roulée ? Le faire !
Pâques 2020, une vie nouvelle, publié le 11 avril 2020 (Faire Église autrement – Textes libérateurs). Par Michel Deheunynck.
Un des premiers textes interrogateurs que j’avais écrit au séminaire, à l’époque où l’esprit critique était reconnu comme formateur, portait sur le calendrier liturgique. De Noël à la Pentecôte, passant par Pâques, celui-ci me mettait plutôt mal à l’aise. Concernant Pâques, le passage de la mort à la vie avec le Christ me semblait du quotidien vécu à chaque moment et à chaque étape chronologique de la vie affective, sociale, professionnelle et non limité à une date précise de l’agenda, fut-elle celle où la nature printanière elle-même revendique son droit à une vie nouvelle, ressuscitée.