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La vie après la mort

Accueil Faire église autrement La vie après la mort
Faire église autrementOuverture(s)
Lucienne Gouguenheim29 septembre 20190 Commentaire

Voilà le dernier partage que nous fait Jacques Musset de l’analyse du livre « Pour un christianisme d’avenir » de John S. Spong [1]

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Pour-un-christianisme-d-avenir.jpg.

« Les hommes et les femmes d’aujourd’hui, dit Spong, peuvent-ils continuer en toute sincérité intellectuelle à parler de vie éternelle ? Le christianisme peut-il survivre sans elle ? »

Je n’ai pas besoin, écrit Spong, de la vie après la mort comme outil ou méthode de contrôle de la conduite. C’est l’unique perspective chez beaucoup de gens religieux. Le ciel et l’enfer, franchement, sont terriblement démodés, des concepts incroyables qu’il faut éliminer de notre esprit et de la vie liturgique de l’Église. Seuls les penseurs ecclésiastiques les plus déconnectés semblent l’ignorer.

Pour avoir le sens de ces concepts, il faut remonter à l’Église primitive et médiévale : elle avait élaboré des constructions mentales de royaumes qui, dans l’esprit ecclésiastique, constituaient l’au-delà de la vie. Ces structures ont été constamment adaptées au gré des besoins. Elles n’ont rien d’immuable et d’éternel, le souci majeur dans l’Église concernant la vie après la mort n’est pas de savoir si elle est réelle ; mais les dirigeants de l’Église ont besoin de contrôler le comportement humain sur cette terre.

À l’origine, il y a seulement deux lieux dans la géographie de la vie après la mort. Le plus rude est de loin l’enfer où les pécheurs subissent un châtiment éternel et le feu ne s’éteint jamais. À ce royaume sont assignés non seulement les méchants, mais aussi les incroyants, les hérétiques, les infidèles et les non baptisés.

L’autre royaume, appelé les « cieux », a été imaginé comme un lieu de béatitude et de récompense ; il est créé et réservé pour les vertueux, les sauvés, ceux qui reconnaissent « Jésus Christ comme sauveur » et donc sont baptisés.


Ce système bicaméral du ciel et de l’enfer ne rendait pas compte de la réalité. Il était mis en question par les expériences de la vie. Des vies vertueuses et saintes, nous le savons tous, ont existé bien avant le temps de Jésus. Platon et Aristote pouvaient-ils raisonnablement être assignés à l’enfer alors qu’ils étaient régulièrement cités dans la théologie de la foi en cours d’élaboration chez les Pères de l’Église ?

L’Église a résolu cette crise par l’ajout d’un troisième domaine aux structures de la vie future, en plus des deux destinations originelles du ciel et de l’enfer. Ce troisième lieu a été appelé « les limbes », et l’idée a été développée dans l’Église médiévale pour être la destination éternelle des « bons païens » qui n’ont eu aucune chance de rencontrer Jésus. La « justice » de Dieu est ainsi sauvée.

L’outrage moral d’assigner les bébés non baptisés à l’enfer a suscité une autre crise de notre foi en la vie future : une quatrième structure a été ajoutée à la géographie de la vie future. Elle a été appelée « les limbes pour enfants non baptisés ». À partir de là, les chefs religieux pouvaient dire que l’enfant non baptisé ne serait pas éternellement puni, mais trouverait sa demeure éternelle, dans un lieu exempt de punition.

Par la suite, le débat à propos de la réalité de la vie future a été soulevé quand les gens ont commencé à voir des « degrés dans le mal » pour ceux qui arrivent à l’heure du jugement. Elle trouva une issue quand un nouvel endroit fut encore ajouté à la géographie de la vie future. On parla de ce nouveau lieu au début du Moyen-âge ; on le nomma le « purgatoire ». Ceux qui ont été les plus méchants du monde ne sont plus condamnés à souffrir pour toute l’éternité, mais seulement à devoir rester plus longtemps en purgatoire. Ceux dont les péchés ne sont pas trop graves ou simplement le résultat de négligence y passeront moins de temps.

Ces nouveaux espaces montrent que la vie future est une construction humaine. Ensuite ces concepts sont entrés dans notre littérature et ont formaté notre conscience. Le sentiment était que si ces contrôles puissants venaient à être relativisés s’en suivrait inévitablement l’anarchie morale. Alors, quand le ciel et l’enfer, la récompense et le châtiment disparaissent, la possibilité d’une vie après la mort disparaît-elle également ?

Une nouvelle perspective sur l’éternité

L’espoir de vie après la mort est presque universel dans l’imagination des gens conscients d’eux-mêmes. Connaissant la vie d’une manière individuelle, ce que procure la conscience de soi, nous trouvons difficile de penser que ce don précieux commence ou se termine dans le néant. C’est pourquoi les êtres humains ont créé des images mythologiques pour communiquer leurs espérances et même leurs fantasmes. La Bible suggère même que Dieu nous connaissait avant qu’il nous eût formés dans le ventre de notre mère (Jer 1,5).

Mais actuellement, avec nos connaissances scientifiques plus étendues, tout ce qui concerne notre naissance et même notre identité apparaît fortuit, fruit du hasard et limité. Le résultat de cette évolution de la pensée est que les vieilles images ayant rapport à la vie éternelle se sont tout simplement évanouies dans notre esprit. Je ne suis pas le produit d’un plan divin ; je suis plutôt le produit d’un parfait hasard.

Tout ce qui est vivant, humain, plante ou animal, est limité. Tout vivant a un début et a une fin. Est-il donc raisonnablement possible que le limité puisse entrer dans l’éternel, que le mortel puisse atteindre l’immortalité et que nos rêves de vie après la mort puissent devenir réalité ? Les chances semblent minces, mais je suis déterminé à les explorer dans ma quête d’une conviction bien établie. Aussi je continue ma tentative d’examiner la vie après la mort en parcourant un terrain très différent tout en revisitant un sujet déjà abordé précédemment.

Nous avons déjà parcouru l’histoire de l’univers, mais il est essentiel de la rappeler maintenant. Notre vaste univers a, semble-t-il, eu son origine il y a environ 13,8 milliards d’années, lors d’une explosion massive connue comme le Big Bang. Des galaxies se formèrent et des étoiles. Il y a approximativement 3,8 milliards d’années, quelque part sur cette petite planète en orbite autour d’une étoile de taille moyenne, dans une galaxie que nous appelons maintenant la Voie lactée, la vie a émergé de quelque façon.

La première forme de vie était très primitive, une simple cellule de taille microscopique. Puis quelque chose de nouveau s’est produit : des cellules simples se sont mises à s’agglomérer. Avec ces agglomérats, la complexité était née, rendant possible une spécialisation des cellules. Puis, au bout de centaines de millions d’années, de l’intérieur de la vie animée, des expressions primitives de conscience commencèrent à émerger. Chaque unité était toujours organisée autour des besoins de survie de l’espèce. Avec la fin de la domination des reptiles, la porte était ouverte pour la montée en puissance des mammifères. Le cerveau supérieur des primates l’a finalement emporté. La victoire des hominidés est arrivée il y a environ six millions d’années. Puis, au final, dans le dernier quart de millions d’années a émergé la conscience.

Un centre nouveau de conscience

Avec ce développement capital naît un moi qui n’est pas qu’une part de la nature, mais un centre nouveau de conscience. Cette créature a un esprit capable de transcender les frontières du temps. Elle peut se rappeler et revivre le passé, rêver et même planifier le futur. Elle sait que la vie a un commencement et une fin et qu’elle mourra. Elle expérimente donc le trauma de la finitude, ce qui la conduit à la quête d’un sens ; ne se contentant pas de voir la vie que comme simple répétition d’un cycle biologique, à savoir naître, atteindre la maturité, enfanter et mourir, cette créature invente un sens. L’esprit de cette créature dépasse les limites de la vie et semble en quelque sorte partager une dimension d’éternité.

Quelques-uns de ces Homo Sapiens, ainsi nommés, ont alors commencé à explorer les secrets intérieurs de la vie et à découvrir des choses telles que « le soi intérieur » et puis ce qui a été appelé « l’inconscient collectif ». Le processus de l’évolution s’arrête-t-il avec la vie humaine telle que nous la voyons maintenant ? Non, nous réalisons que dans notre propre histoire des vies semblent avoir été capables de transcender les limites humaines ordinaires. Nous appelons de telles personnes des mystiques, des prophètes, voire des expressions du divin.

Tout cela montre la possibilité, peut-être même la probabilité, que nous sommes en quelque sorte reliés à une éternité qu’il nous est impossible de totalement identifier et dont nous constituons une part. Par exemple, sommes-nous si profondément connectés que nous pouvons transmettre des vibrations de vie et d’amour apaisant à un autre ? L’activité que nous appelions prière, était-ce cela qu’elle cherchait à saisir ? Sommes-nous en relation avec ce qui est éternel ? Est-ce cela que nos anciennes idées sur la vie éternelle essayaient de nous dire ? La vie est-elle le dévoilement du mystère que nous appelons Dieu ? La vie éternelle trouve-t-elle dans ces domaines un nouveau contenu ?

Il y a quelques années, j’ai traité largement de la vie après la mort dans un livre ayant pour titre Eternal Life (La vie éternelle). Je pesais les chances de la vie éternelle, définie d’une manière nouvelle. Ma conclusion était que j’y crois. À mon avis, cela fait sens. Je vois les bords de la vie s’ouvrir, non pas avec l’image de la mort – une interruption de la vie – mais avec l’image de la vie elle-même.

Beaucoup d’éléments permettent de déchiffrer cette dimension de la vie. Prenons le don de survie, le combat pour survivre. Nous, les humains, nous luttons entre l’être et le non-être. Quand arrive pour nous le jour de mourir, cette mort va à rencontre de tout notre projet de vie. Par ailleurs, les expériences hors du corps quelquefois rapportées par des individus proches de la mort sont un autre indicateur possible d’une dimension transcendante de la vie. J’en ignore le fonctionnement, mais je ne peux pas manquer de m’interroger : y a-t-il quelque chose en nous-mêmes qui peut échapper à la fin de la vie ? Y a-t-il une division entre le corps et l’âme susceptible de nous donner un certain espoir ?

Un autre indicateur est fourni par les connexions entre certaines personnes, qui les relient d’une manière quasi mystique. Combien de gens se sont réveillés la nuit pensant à quelqu’un de cher, par exemple, et puis le matin suivant ils apprennent que la personne qu’ils avaient à l’esprit a eu un accident de voiture ou une attaque cardiaque ? D’autres indicateurs existent. Qu’est-ce que « l’inconscient collectif » ? Sommes-nous reliés aux gens qui ont vécu avant nous et vivront après ? Comment considérer les gens qui semblent avoir une intuition spirituelle particulière ? Est-ce que des hommes et des femmes, des chamans, des saints, ont des contacts avec d’autres ? Comment est-il possible que la vie humaine soit composée de millions de propriétés physiques, et qu’elle ne cesse de créer une conscience qui puisse éprouver de l’amour. C’est sensationnel. Je ne pense pas que nous en connaissions assez sur la vie pour décider que c’est à exclure. Je ne le fais pas.

Il m’est impossible de faire des dessins, d’évaluer des données ou même de partager des faits. Je peux simplement dire qu’aux confins de la vie, aux frontières de sa propre conscience, les concepts de réalité transcendante, d’amour infini et de vie éternelle font toujours sens pour moi. Je ne me fais pas d’illusion. Je crois que j’ai touché l’éternel et que j’en partage le sens. Oubliés, la récompense et le châtiment. Embrassée, la vie déployée, la vie au-delà de la finitude. Je suis convaincu de cette réalité. Je vivrai comme s’il en est ainsi et je serai prêt pour la prochaine aventure que me réserve la conscience. Le seul lieu où je puis maintenir cette conviction et me préparer à ce qui vient ensuite est dans une communauté de chercheurs. En fin de compte, c’est, je le crois, ce que doit être l’Église.

Voilà pourquoi je m’attache à cette Église en dépit de toutes ses imperfections, car j’y trouve le lieu où toucher et approcher « l’éternel ». 

Notes :

[1] Voir :

Repenser Dieu dans la modernité – Non pas un être, mais l’être

Repenser Jésus le Christ – Se débarrasser de l’idéologie de l’incarnation

Le christianisme actuel doit se réformer en profondeur ou mourir

Pâques : quelle signification ? Le message de la Résurrection à décrypter

L’éthique en notre temps

La prière de l’homme moderne

Source : Golias Hebdo n° 577

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Commentaire (00)

  1. Annie Grazon
    30 septembre 2019

    J’avais déjà lu ce texte dans le livre de John Spong, mais le relire quand on vient de perdre un être cher, le fait apparaître sous un jour nouveau…
    Merci à ceux qui le permettent

    Annie Grazon

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